Les 7 Piliers de l'énergie vitale
Une clé pour l'équilibre corps-esprit
📃 Publié le : 04/10/2025
• ✍🏼 Rédigé par : Lindsey De Jésus
⌛ Temps de lecture : 10 minutes
SOMMAIRE
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Introduction
L’énergie vitale est comme un fil conducteur
qui relie le corps, l’esprit
et les émotions. Lorsque ce fil circule librement, nous nous sentons plus forts, plus sereins
et plus épanouis.
Chez Bouge et Souris, nous avons identifié 7 piliers essentiels
qui soutiennent cet équilibre
au quotidien. Ils constituent des repères
simples et concrets
pour mieux comprendre notre santé globale
et agir, pas à pas, vers plus de vitalité.
Pilier n°1
“Le mouvement, c’est la vie.” – Aristote
Le mouvement, c’est la vie. Un corps qui bouge est un corps qui vit, qui s’exprime
et qui garde la capacité de réaliser mille choses
:
- voyager,
- pratiquer un sport,
- accomplir les tâches du quotidien avec force et aisance…
- mais aussi danser, jouer, s’émerveiller.
Bouger, ce n’est pas seulement faire du sport :
c’est aussi marcher en nature, aller au marché à pied, faire ses courses, jouer
avec ses enfants, participer
à un déménagement, ou même faire le ménage
(oui, c’est cardio !).
Chaque geste compte.
Bien sûr, l’activité sportive régulière
apporte un soutien supplémentaire
:
- musculation,
- yoga,
- pilates,
- marche,
- natation,
- danse,
- ou encore arts martiaux comme le taï-chi.
- ...
L’essentiel
est de choisir une pratique qui nourrit votre énergie, qui vous procure du plaisir
et dans laquelle vous vous sentez bien.
Bouger, c’est entretenir la mobilité, stimuler la circulation, prévenir de nombreuses pathologies. Mais c’est aussi retrouver de la joie et redonner de l’élan à sa vitalité.
Le mouvement, c’est aussi prendre soin de sa santé
pour pouvoir être là, pleinement, avec les personnes qui comptent pour nous. En entretenant notre corps, nous préservons notre énergie pour :
- accompagner nos enfants,
- partager des moments avec nos amis,
- soutenir nos proches,
- et vivre plus longtemps en bonne santé.
Le mouvement nous rend disponibles, présents
et plus ouverts
à la vie et aux autres.
Bouger, c’est donc bien plus
qu’un simple effort physique :
c’est une manière de célébrer la vie, de garder son corps vivant, disponible et joyeux.
Mais pour que ce mouvement soit pleinement porteur d’énergie, il doit s’accompagner d’un autre geste essentiel, souvent oublié : respirer pleinement.
Pilier n°2
Dans une société inhalée par le stress, la performance
et le “métro-boulot-dodo”, on en oublierait presque de respirer — et en conscience qui plus est. Respiration courte, saccadée, coupée, étouffée… allez, je m’arrête là,
c’est déjà beaucoup, vous ne trouvez pas ?
Respirer pleinement et posément permet de nourrir ses cellules,
d’oxygéner ce merveilleux cerveau
afin de maximiser concentration
et réflexion, mais aussi d’apaiser l’esprit, ce mental
qui tourne à vive allure
et à tue-tête.
La respiration consciente, comme lorsque nous sommes posés (en méditation par exemple), stimule le nerf vague
et nous aide ainsi à mieux gérer
stress et émotions.
On ne le croirait pas comme ça, mais respirer permet de se sentir mieux à tout point de vue.
C’est une action
mécanique, naturelle et simple, mais lorsque nous nous laissons emporter
par le quotidien, les contrariétés, minimes soient-elles, nous en font oublier son importance. La respiration est pourtant notre grand régulateur corporel et émotionnel.
Pour aller plus loin, respirer pleinement permet de mieux vivre dans l’instant présent
et d’être moins happé par nos incessantes pensées. La respiration nous rend plus éveillés à notre corps, à notre esprit
et aux autres. Elle nous aide également à mieux gérer nos efforts physiques.
Vous remarquerez d’ailleurs, au fil de cet article, que ces 7 piliers
de l’énergie vitale sont tous en lien, qu’ils s’entrecroisent et se renforcent
les uns les autres. Le souffle nourrit le mouvement, le repos, les émotions… et il nous conduit naturellement vers un autre pilier essentiel : s’alimenter selon ses besoins.
Pilier n°3
Voilà un sujet qui suscite souvent questionnements, contradictions
et parfois même dogmes. Certains choisissent une alimentation végétalienne, d’autres végétarienne, low carb (réduite en glucides), low fat (réduite en graisses), paléo, flexitarienne… la liste est longue.
Dans l’idéal, s’alimenter devrait être avant tout un moyen d’apprendre à se connaître soi-même, à écouter son corps
et ses besoins réels. Il est intéressant d’expérimenter
pour savoir ce qui nous convient le mieux : parfois, nous sommes naturellement attirés
par certains aliments, ou au contraire repoussés
par d’autres.
À cela s’ajoutent nos envies, qui proviennent de notre palette gustative, de notre palette émotionnelle
et de nos souvenirs. Chaque moment partagé, chaque expérience culinaire — agréable ou non
— influence nos choix.
Un point intéressant à souligner : nos intestins ont aussi leur mot à dire.
Plus précisément, ce sont nos cellules bactériennes, qu’elles soient bénéfiques ou moins saines, qui nous “parlent” à travers le corps et peuvent nous pousser à désirer
certains aliments pour s'alimenter de plus belle.
Ainsi, il n’est pas toujours simple
de manger selon ses véritables besoins.
C’est ici que les autres piliers interviennent : se sentir apaisé, présent, centré, permet de distinguer un besoin émotionnel
(manger pour combler une déprime) d’un besoin vital
(nourrir ses cellules, son cerveau, ses muscles, et maintenir sa vitalité).
L’expérience est un chemin précieux
pour mieux se connaître et élargir sa palette
gustative. Et il est tout à fait normal — et sain — de se faire plaisir : savourer un gâteau lors d’un moment de partage, ou s’accorder une douceur réconfortante avec soi-même.
Trop souvent, nous vivons à l’extérieur de nous-mêmes
: cherchant à plaire aux autres au détriment
de notre écoute intérieure, ou poursuivant la perte de poids sous l’influence
d’images véhiculées par la télévision, les publicités, ou les réseaux. Ces modèles de corps sveltes et sans rondeur nous envoient inconsciemment un message
: “c’est comme cela qu’il faut être”.
Or, nous devrions être notre propre juge intérieur, en nous référant à nos besoins profonds. Vouloir perdre du poids pour sa santé, choisir de manger de la viande si cela nous nourrit
réellement (sans culpabilité même si nos proches sont végétaliens) :
chacun ses choix, chacun son chemin.
La connaissance de soi
passe par l’expérimentation
— avec prudence, et en s’appuyant sur un professionnel
de santé lorsque c’est nécessaire. Le bien-être doit rester le repère principal. Car au final, chaque personne est unique, avec des besoins différents selon son terrain, sa génétique
et ses éventuelles pathologies.
On pourra toujours vous dire de “manger équilibré”, d’apporter des protéines, des glucides et des lipides — les trois macronutriments essentiels au bon fonctionnement du corps humain. Mais qui peut dire exactement combien
et sous quelle forme
vous devez les consommer ? La seule véritable réponse vient de vous :
en écoutant vos besoins.
Toutefois, dans cette démarche de mieux se connaître
et de prendre soin de soi, il peut être précieux de se faire accompagner. Consulter un nutritionniste, un coach spécialisé
ou un professionnel de santé
permet de recevoir des conseils adaptés, des ressources fiables
et des repères concrets. Car évoluer seul est difficile, et nous avons souvent besoin d’autrui
pour progresser, apprendre et trouver un chemin plus juste pour nous.
S’alimenter selon ses besoins, c’est nourrir son corps et son esprit
de la meilleure façon possible. Mais pour que cette énergie soit pleinement disponible
et durable, il est essentiel de lui offrir un autre allié précieux : le repos.
Pilier n°4
Vous souvenez-vous de ce que nous avons évoqué au sujet de la respiration ? Cette fameuse routine “métro-boulot-dodo”, la course permanente… et le rôle de la respiration consciente dans la gestion du stress et des émotions. Le repos, lui aussi, joue ce rôle de régulateur
— mais il va encore plus loin.
Peut-être qu’au moment où vous lisez ces lignes, vous êtes confortablement installé : sur votre canapé, en pause au travail, ou simplement posé dans un endroit calme. Votre respiration est lente, posée, et votre corps, en silence, se régule. Il se répare d’une séance sportive, d’un effort physique ou d'un stress : vos jambes, votre cœur, tout vos systèmes récupèrent.
Vous avez peut-être marché activement, fourni un effort intense ou modéré — physique ou mental. Résultat : vous vous sentez énergique… ou au contraire épuisé. Dans les deux cas, une chose est certaine :
votre corps a besoin de repos pour retrouver son équilibre.
Pourtant, notre tendance est souvent d’enchaîner sans véritable moment de pause
: travail, projets, performance. Dans le sport aussi, surtout en collectif, l’effet de groupe nous pousse à nous dépasser, parfois au détriment de notre récupération pour prouver
qu'on en est capable voire meilleur, et/ou être validé.
Mais cette dynamique finit par user
:
le corps s’épuise, le système nerveux s’affaiblit.
Et si nous ignorons
les signaux envoyés par notre organisme, la fatigue devient chronique
:
- baisse de vitalité,
- vulnérabilité accrue aux maladies,
- métabolisme au ralenti.
C’est ainsi que peuvent apparaître prise de poids, hypothyroïdie, fatigue persistante, irritabilité, hyperémotivité… jusqu’au fameux burn-out. Le corps, en mode “survie”, réclame
du repos.
Et lorsque nous accordons à notre corps enfin du repos, nous redécouvrons ses bienfaits
:
- prendre le temps de marcher en nature,
- contempler ce qui nous entoure,
- se ressourcer.
Peu à peu, nous renouons
ou découvrons
des activités
qui apaisent le corps et l’esprit
:
- dessin,
- lecture,
- méditation,
- crochet,
- couture,
- yoga…
autant de moments simples qui régénèrent.
À mesure que l’énergie revient — étape par étape
— il devient naturel de réajuster son mode de vie
: un rythme de travail plus respectueux, des loisirs nourrissants, un nouvel équilibre entre plaisir et effort.
Vous l’aurez compris : le repos n’est pas un luxe, il est un des piliers fondamentaux de l’énergie vitale.
Se reposer, c’est se reconnecter à soi, retrouver son énergie et son équilibre intérieur. Et cette vitalité retrouvée se nourrit aussi d’une autre dimension essentielle : cultiver ses relations.
Pilier n°5
Nous aimons tous notre indépendance
: faire les choses par nous-mêmes, avoir du temps pour soi, loin du tumulte, de la foule et du bruit de la vie quotidienne.
Puis vient le week-end. Pour certains, c’est l’occasion de retrouver ses amis, sa famille, partager des sorties et des moments de convivialité. Pour d’autres, c’est le temps du repos : enfiler son pyjama pilou-pilou, se glisser sous un plaid et s’adonner à des activités cosy et réconfortantes.
Cultiver ses relations
n’empêche en rien de préserver des temps pour soi. Au contraire, c’est souvent en partageant des instants avec les autres, en voyageant ou en vivant des expériences communes, que l’on savoure encore davantage
les moments de calme et de solitude.
Il arrive pourtant que certaines interactions
nous fatiguent : une rencontre
qui se passe mal, une ambiance pesante, une compagnie peu nourrissante… Ces déceptions
peuvent donner envie de s’isoler et de ne plus faire d’efforts. Dans ces moments-là, il est essentiel de se rappeler que nous avons un choix :
celui de nous entourer de personnes qui nous correspondent et nous nourrissent.
Bien sûr, ce choix n’est pas toujours simple — surtout au travail, face à un collègue avec lequel le conflit est inévitable, par exemple. Mais nous gardons toujours la possibilité de choisir l’impact
que cela aura sur nous. Et là, souvenons-nous d’un autre pilier : respirer
pleinement. Respirer, prendre du recul, se recentrer. Puis, agir en conscience
: s’exprimer, poser ses limites, ou lâcher prise.
Les liens humains sont une véritable source de vitalité. Partager, rire, échanger, rencontrer l’autre, c’est aussi se rencontrer soi-même. Chaque relation — qu’elle soit affective, amicale ou professionnelle — nous apprend quelque chose sur nous.
La convivialité
est pourtant souvent
sous-estimée
comme facteur de
santé.
Nous pouvons vite nous sentir isolés ou seuls — que l’on soit parent célibataire, indépendant, ou simplement dans une période de retrait social. C’est là que la richesse des relations humaines
prend tout son sens :
- elles redonnent de l’énergie vitale,
- nourrissent notre équilibre émotionnel,
- et nous rappellent que nous ne sommes pas seuls.
Les relations humaines nous nourrissent, nous soutiennent et nous aident à mieux nous connaître. Elles viennent aussi éveiller en nous toute une palette d’émotions. Pour rester en équilibre, il est essentiel d’apprendre à : donner une place à ses émotions.
Pilier n°6
Trop souvent réprimées, camouflées, étouffées, niées… Pourtant, les émotions sont de véritables baromètres
de notre état de santé, physique
comme mental. Lorsqu’elles ne sont pas exprimées ou entendues, elles finissent par se cristalliser dans le corps.
“Soyez positif.” “Ce n’est pas bien d’avoir des pensées négatives.” “Je veux me débarrasser de mes émotions, ne plus rien ressentir.”
Tant de phrases entendues, répétées, qui créent au contraire des tensions. Car exprimer une émotion
peut donner peur d’être rejeté
ou incompris
: ne plus être aimé, ne plus être conforme à ce que les autres attendent de nous. Lorsque nous exprimons ce que nous ressentons, nous nous retrouvons souvent à nu, tel que l'on est, vulnérable, et lâchons les potentiels masques que nous affichons quotidiennement.
Heureusement, les temps changent. Les croyances évoluent
et il devient plus acceptable
d’oser ressentir ses émotions, de les nommer, de les verbaliser. Cette acceptation est la première clé
: elle permet de se libérer et d’avancer.
Mais pour beaucoup d’entre nous, ce chemin n’est pas simple. Colère, agacement, frustration… souvent, nous ne savons pas comment les accueillir, les gérer. Alors nous les repoussons, nous “mettons un couvercle”. Et un jour, comme une cocotte-minute, tout explose.
Puis vient la culpabilité, la colère contre soi-même, et la boucle recommence… jusqu’au jour où l’on prend conscience : c’est trop. On comprend que l’on a le droit
de ressentir. Que vivre des émotions, c’est profondément humain. Et alors, on lâche prise.
Peu à peu (et ça peut prendre du temps), on apprend à s’exprimer davantage, à écouter les signaux du corps — ces tensions ou cet inconfort
qui nous disent qu’il est temps d’agir. On n’attend plus que l’émotion éclate : on l’accueille
dès qu’elle se présente, on l’entend, et on se réajuste.
Les émotions deviennent alors une boussole intérieure
: elles nous guident dans nos choix, dans nos relations, et nous aident à éviter des conflits inutiles. Elles sont aussi un indicateur de santé
: une irritabilité persistante, une nervosité ou une déprime sans raison apparente peuvent révéler un déséquilibre
hormonal ou une pathologie
sous-jacente. Y prêter attention, c’est se donner la chance
d’agir à temps.
Accueillir ses ressentis, c’est finalement se donner la liberté d’un équilibre intérieur plus juste. Et pour avancer pleinement dans cet équilibre, il est tout aussi essentiel de nourrir : nos aspirations.
Pilier 7
Septième et dernier pilier de l’énergie vitale.
Nous avons vu dans les six autres piliers que :
- bouger,
- respirer,
- se reposer,
- s’alimenter selon ses besoins,
- cultiver ses relations,
- et donner une place à ses émotions
sont essentiels pour accroître
notre bien-être, apprendre
à nous connaître et gagner
en vitalité.
Nourrir ses aspirations
est tout aussi indispensable. L’être humain a besoin de créer, d’avoir des projets, des rêves ou simplement des plaisirs quotidiens (hors chocolat 😉). Car nourrir ce à quoi l’on aspire, c’est alimenter cette flamme intérieure
qui nous motive, nous élève et nous fait avancer avec joie.
C’est notre carburant.
Souvent, nous prenons soin de notre corps, de nos relations… mais nous oublions de nourrir
ce qui nous anime profondément. Trop occupés à remettre au lendemain, à prioriser des tâches “urgentes”, ou parfois même par peur de ressentir la joie. Oui, nous pouvons avoir peur d’être heureux. Et pourtant, nous en avons le droit.
Nous sommes légitimes à vivre la joie, même si, parfois, nous ne nous en donnons pas la permission.
Saviez-vous que nos cellules
et nos fascias
ont une mémoire
? Cela signifie que les événements
— traumatiques ou non — sont enregistrés dans notre corps. Et ce n’est pas tout : les histoires de notre famille, de nos ancêtres, s’y inscrivent aussi. Ainsi, il arrive de se sentir “bloqué” dans son chemin de vie sans savoir pourquoi, comme si les émotions cristallisées de nos ancêtres avaient laissé une empreinte
dans notre ADN.
Et pourtant, il est possible de transformer cela.
Prendre conscience (comme un déclic)
que ces informations existent en nous, c’est déjà commencer à les voir pour ce qu'elles sont et à les libérer. Car dans cette mémoire cellulaire, il n’y a pas seulement des blocages : il y a aussi des ressources.
Tout est information, et chaque émotion peut devenir une porte d’évolution.
Nous avons cette faculté d’évoluer, de reprendre en main notre vie. Se faire accompagner dans ce chemin est parfois nécessaire
et bénéfique. Mais il y a aussi un facteur essentiel : la foi. La foi en la vie, en soi, en ses projets, en l’avenir. Se rappeler que nous ne sommes pas sur cette Terre pour souffrir, que les temps changent, et que nous avons le droit
de nous sentir bien, en paix.
Quoi qu’il arrive autour de nous, il restera toujours ce grand pouvoir intérieur : cette foi indéniable
que nous pouvons nous transformer
et nourrir nos aspirations.
Conclusion
Ces sept piliers de l’énergie vitale — bouger, respirer, s’alimenter, se reposer, cultiver ses relations, donner de la place à ses émotions et nourrir ses aspirations — sont comme les racines d’un même arbre. Chacun contribue à sa manière à nourrir
notre vitalité, notre équilibre
et notre bien-être global.
En prendre soin, pas à pas, c’est retrouver un lien plus profond
avec son corps, son esprit et sa vie tout entière. C’est accepter que l’énergie circule en nous de façon fluide
lorsque nous honorons
toutes ces dimensions de notre être.
Chez Bouge et Souris, nous croyons que chaque personne peut se réapproprier son énergie et trouver son équilibre unique. Il ne s’agit pas de chercher la perfection, mais d’avancer à son rythme, en conscience, en s’autorisant
à sourire à la vie.
👉 Et si vous commenciez dès aujourd’hui à choisir un pilier à explorer davantage ? Un petit pas suffit parfois pour réenclencher un grand mouvement vers plus de vitalité.